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:: Jour 10

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Une journée qui commence par un petit déjeuner copieux, au menu duquel figurent, en plus des mets habituels, du chocolat chaud, des saucisses, des oeufs brouillés et du poisson... une telle journée donc ne peut être une journée totalement ratée. Ainsi, même si le temps devait nous réserver pour aujourd'hui le même déluge que la veille, au moins aurons nous trouver un peu de réconfort dans l'agréable salle à manger du Gistihúsið Egilsstöðum. Fort heureusement, lorsque nous quittons l'hôtel et la forte odeur de bouse et de vaches qui l'entoure, en raison de la présence proche d'une ferme, un peu de bleu se distingue entre les nuages. Nous reprenons donc la route vers la chute d'Hengifoss, à l'autre bout du lac Lagarfljót, afind 'effectuer aujourd'hui la balade que nous n'avons pu faire la veille.
Lorsque nous entamons l'acension vers la cascade, une très belle éclaircie se manifeste, de l'autre côté de la vallée, vers le sud-est, sur le massif dominé par le mont Hraungarður. Mais nous avons beau nous retourner chaque minute pour suivre l'évolution du temps, le front nuageux ne bouge pas, et semble rester stationnaire. Même si le soleil ne daigne pas nous accompagner de ses rayons, le paysage n'est pas gâché pour autant. Au contraire! Au dessus de la belle forêt d'Hallormsstaður, la lumière perce à travers un brouillard mystérieux. Au dessus de nos têtes s'affrontent deux ambiances bien différentes : le soleil et le ciel bleu d'un côté, et de l'autre un ciel sombre et chargé, presque orageux. Le contraste qui en résulte est saisissant. La vallée du Lagarfljót révèle des couleurs verte et orange bien vives, tandis qu'au premier plan, les nombreux petits cairns qui bordent le sentier d'Hengifoss se fondent en une étrange silouhette.

Avant de parvenir à Hengifoss, plusieurs petites cascades sont visibles depuis le sentier qui chemine au dessus des gorges creusées par la rivière. Parmis celle-ci, la cascade Litlanesfoss, assez haute, contraste avec les sombres et magnifiques colonnes de basalte qui l'entourent. C'est le refroidissement de la lave en roche qui explique cette contraction en colonnes. Celles-ci, à section souvent hexagonale, se forment de manière perpendiculaire par rapport au plan de refroidissement. L'incurvation des colonnes les plus longues montre que la lave bougeait encore lorsque la solidification des colonnes a commencé. Après que la lave ait rempli le lit du ruisseau, l'érosion et le temps font leur travail, et le résultat se trouve sous nos yeux, sous la forme d'un canyon splendide et très particulier.
Plus haut, sans être particulièrement difficile, le chemin nécessite un peu d'agilité, notamment lors de la tarversée d'un espace rendu boueux et très glissant par l'eau du torrent.
Au pieds de la cascade Hengifoss, haute de 120m, le lit de la rivière, bordé par endroit d'une courte végétation au vert très vif, est encadré par un massif rocheux creusé par l'érosion, montrant ainsi une alternance de strates noires et rouges. C'est ce qui fait toute la particularité du site d'Hengifoss. Personellement, je trouve les colonnes verticales de Litlanesfoss beaucoup plus impressionnantes que les strates horizontales d'Hengifoss.

Alors que nous redescendons, le temps de s'arrange pas. Les nuages se font plus présents au dessus du versant d'Hengifoss. La vallée du Lagarfljót et la forêt d'Hallormsstaður n'offrent plus le même spectacle qu'à l'aller. Nous sommes donc montés au bon moment.

Au parking, une jolie surprise nous attend : trois rennes paîssent paisiblement dans les paturages qui jouxtent les rives du fleuve Jökulsá Í Fljótsdal. Mais les animaux sont plus craintifs que leurs cousins finlandais, et s'éloignent prestement à toute tentative d'approche. Nous devrons donc nous contenter d'un contact fugace et de photos mettant le zoom à forte contribution.

Après cette petit rencontre qui nous rappelle au passage de bons souvenirs du voyage de l'été dernier en Laponie, nous reprenons la route, accompagnés par les Kinks chantant "You really got me". Nous repassons par Egilsstaðir, puis nous dirigeons vers le sud en direction de Reyðarfjörður. Situé au fond d'un fjord long d'une trentaine de kilomètres, ce petit port de 630 habitants ne présente rien de bien particulier, mais les environs très encaissés du village sont assez jolis.
La route 955 fait le tour de la péninsule qui sépare le fjord Reyðarfjörður du Fáskrúðsfjörður, au sud. Mais étant donné que le temps n'est pas génial, nous préférons opter pour la route 96 et son tunnel long de 5 km sous le mont Hallberutindur, qui permet de rejoindre le petit village de Fáskrúðsfjörður sans détour. Juste avant l'entrée du tunnel, sur la droite, au creux d'un cirque montagneux, se trouvent de très belles cascades, mais elles ne semblent pas accessibles autrement qu'à pieds hors des sentiers.

De l'autre côté du tunnel, nous découvrons le petit port de Fáskrúðsfjörður (570 habitants), situé lui aussi au fond d'un fjord, mais long seulement de 16 km. Encore une fois, rien de bien particulier ne caractérise ce village, excepté pour des voyageurs français. En effet, des pêcheurs de notre pays ont contribué à la vie de ce petite village, entre 1850 et 1814. De nos jours, quelques vestiges de cette présence française peuvent s'observer à Fáskrúðsfjörður. Les noms des quelques rues y sont indiqués à la fois en français et en islandais. A l'est de la ville, au bout de Hafnargata, un chemin descend de la route vers la mer, en suivant un petit ruisseau. Au bord de l'eau se trouve un petit cimetière, Franski Kirkjugarðurinn, où gisent 49 pêcheurs français, dont les noms sont indiqués sur un monument dressé à la mémoire des disparus. Un court poême d'A. Cantel, Les Goelettes, "Regrets", daté de 1925, leur rend hommage:

"Elles étaient une centaine,
Qui s'en allaient tous les printemps,
Au gré des flots, au gré des vents,
Là-bas, vers l'Islande lointaine
."

Dans les petites rues de Fáskrúðsfjörður, plusieurs maisons témoignent de cette époque, comme la maison du médecin-chef de l'hôpital, l'infirmerie dans Hamarsgata, où le musée des Français en Islande. Un hangar a également été construit avec les restes d'un navire naufrage, portant le nom de Manon, en 1924.

Plus loin, du côté sud du fjord, au bout de la péninsule, se trouve l'ancien hôpital français. Initialement bâti à
Fáskrúðsfjörður en 1904, il fût démonté et déplacé à Hafnarnes en 1940 . Il servit un temps d'habitation, mais avant d'être abandonné. Il paraît que l'ancien hôpital a subit, ou doit subir une restauration, mais pour l'instant, malgré la présence d'un panneau indiquant "Chantier franco-islandais, sauvegarde de l'hôpital", l'endroit semble très dékabré. Le bâtiment solitaire et vieux, qu'on ne peut pas rater, fait face au fjord et aux îles de Andey, toute plate, et Skrúður au relief plus marqué. Cette dernière, bloc volcanique de basalte et de magma haut de 160m, héberge une avifaune riche de 18 espèces différentes. Le macareux, avec 150 000 couples, est l'espèce la plus représentée, mais on y trouve aussi, entre autres, des guillemots à mirroir, des pingouins torda, des fous de Bassan, les habituels fulmars et mouettes tridactyles, divers goélands. Enfin, cette pettie île abrite une grande grotte, du nom de Skrúðshellir, longue de 125m et larde de 85m.

A l'extrémité de la péninsule, avant de parvenir au minuscule hameau de Stöðvarfjörður (270 habitants), à hauteur de Teigur, une douce lumière traverse la couche nuageuse. Une atmosphère mystérieuse enveloppe les falaises aux herbes folles balayées par le vent et les flots déchainées venant se briser en de puissantes vagues sur la roche. Par endroits, de véritable jeysers surgissent de la mer, entre les rochers, et s'abattent sans prévenir non loin de l'endroit où je me tiens.

Tout au long de la côte, en descendant vers le sud-ouest, de très belles cascades dévalent les pentes montagneuses, dont le sommet se cache derrière un épais brouillard.
A 5 km au large de Djúpivogur, l'île de Papey doit snon nom à la présence de moines irlandais, qui se seraient installés ici avant la colonisation de l'Islande. Il est possible de visiter l'île, mais hormis la plus vieille église islandaise de bois encore debout, datant de 1807, il ne reste plus grand chose des vieilles fermes du passé : Papatættur et Írskuhólar. A ce propos, l'Islande fourmille de vieilles bâtisses délabrés, en ruine et oubliées de tout le monde, qui porte le nom d'Eyðibýli. C'est pour cette raison que ce terme, qui signifie ferme abandonnée, est si fréquent sur les cartes de l'île. Je trouve qu'une bâtisse en ruine et isolée présente toujours un certain charme. Il est curieux de se dire que c'est souvent tout ce qu'il reste de plusieurs années ou décennies de vie de personnes aujourd'hui disparues. Des centaines ou des milliers de jours qui ont animé un tel lieu, il ne persiste qu'une trace oubliée et à l'abandon : un tas de pierre et de bois. L'exploration de vieilles ruines peut constituer à lui seul un motif de balade et de photographie, pour essayer de palper les vestiges d'un passé révolu et inconnu, et d'imaginer les scènes de vie qui y ont pris place. On doit se sentit du coup très insignifiant et éphémère, car il est probable qu'après notre disparition, la plupart d'entre nous ne laissera même pas une ruine capable de persister pendant des années ou des siècles dans un petit coin du monde. Plus qu'ailleurs, ce genre de constructions abandonnées et le sens qu'elles portent sont très présentes en Islande. On peut d'ailleurs trouver par une recherche sur internet quelques pages de sites ou de forum très interessantes, consacrées à la photographie de ces ruines figées dans des paysages hostiles, sombres et sauvages. La nature reprend toujours le dessus.

Le long du Berufjörður, avant d'arriver à Djúpivogur, un petit détour en direction d'Eyjólfsstaðir nous fait découvrir la rivière Fossá, au creux d'un canyon bordé d'un peu de verdure et même de quelques petits arbres. Au nord se dessine l'imposante silhoute déchiquetée de la chaîne de montagnes qui jouxtent la rive nord-est du Berufjörður, avec les sommets de Flögutindur, Mýrafellstindur, Matarhnjúkar...
La rivière forme une petite cascade, dont les éclats donne naissance à un arc-en-ciel. En continuant à marcher en remontant le courant sur le flanc de la montagne, je parviens au niveau de deux autres cascades. L'endroit est très agréable et le soleil se reflète dans les eaux du torrent. J'aurais volontier poursuivit la balade plus haut, mais nous avons encore de la route à faire et d'autres lieux à découvrir.

Djúpivogur est un petit port mignon. Les montagnes alentour qui encadrent le fjord sont comme stratifiées. Plus loin, depuis la route 1, qui suit toujours le littoral, on peut apercevoir une petite île, à environ 2,5 km de la côte. Cette île, du nom de Hrómundarey, est étrangement reliée à l'Islande par une étroite bande de roche et de terre, d'une longueur d'environ 10 km en direction du sud-ouest. Ce cordon littoral forme ainsi une ligne de falaises en pleine mer.

A quelques kilomètres au sud, un banc de sable noir délimite une autre grande lagune, appellée baie de Lónsvík, qui s'étend sur environ 23 km entre Hvalnes et Vestrahorn. Dans cette baie se jette le fleuve glaciaire Jökulsá Í Lóni. L'endroit est fort propice à la balade, et réputé pour l'observation des phoques.
Lorsque nous nous arrétons à Hvalnes, près du phare, l'endroit est désert. L'ambiance de cette fin de journée qui reigne sur ce lieu balayé par un fort vent froid est assez particulière. A l'ouest, du côté de la baie de Lónsvík et sa plage de sable, le ciel est obstrué par des nuages menaçant, et un épais brouillard s'accroche aux flancs des montagnes. La visibilité se limite à quelques centaines de mètres, si bien que la bande de sable semble disparaître dans cette masse grise. A hauteur du phare et du parking, les rayons du soleil parviennent à percer la couche nuageuse, et révèle la couleur flamboyante de l'herbe d'automne, tandis que le ciel se pare d'une teinte tirant légèrement vers le mauve. A l'opposé de ces couleurs assez chaudes, vers l'est, de l'autre côté de la pointe de Hvalnes, l'atmosphère est plus froide. Au dessus des vagues puissantes qui viennent se casse sur les rochers de la côte, le ciel commence à prendre cette couleur bleue magnifique que l'on observe si souvent en fin de journée en Islande. Ce qui rend le moment si aprticulier, c'est le fait que c'est deux ambiances très différentes s'affrontent, sans transition, au dessus de nous. J'ai bien peur que les photos ne parviennent pas à rendre compte correctement de cet étonnant festival de couleur.
Après quelques pas au milieu de la plage de sable, Eva ne tarde pas à s'effacer totalement, prise dans l'épaisseur grise qui nous entoure. Bien qu'il soit possible de marcher sur des kilomètres le long de la baie de Lónsvík, nous n'allons pas bien loin : il est assez désagréable de marcher longtemps sur un tel mélange de sable et de galets, qui roulent sous le pied et rentrent dans les chaussures. Mais il faut également reconnaître que l'on ressent rapidement la sensation d'être un peu perdus, la mer nous entournant des deux côtés, et le brouillard limitant la vue à quelques mètres. Il se peut qu'il y ait des phoques plus loin, mais en tout cas nous n'en voyons aucun.
De l'autre côté du phare, j'effectue une pettie excursion au milieu des rochers de la plage, sur lesquels se brisent de puissantes vagues. Alors que je manipule l'apapreil photo associé à divers filtre, deux oiseaux de eptites taille viennent se poser non loin de moi, bien en évidence sur un rocher. Essayant de ne pas les effrayer par mes mouvements, je tente de retirer le grand angle de l'objectif de l'appareil afin de pouvoir zoomer. Manque de chance, il est un peu trop solidement vissé, et je perd de précieuse secondes avant de réussir à l'enlever. Heureusement, les deux osieaux n'ont pas bougé, et sont toujorus au même endroit, à me regarder d'un oeil curieux. Tout doucement, je descend de mon promontoire rocheux pour me mettre à leur niveau et me rapprocher petit à petit. Avec l'oeil collé au viseur, ce déplacement se révèle dangereux car les rochers, balayés par les vagues, sont très glissant. Une chute serait probablement fatal pour l'appareil photo. Après quelques minutes d'une lente et discrète approche, les oiseaux sont toujours là et tournés vers moi, si bien que les dernières photos, prises de très près, les montrent en très gros plan. Il s'agit de bécasseaux violets (Calidris maritima), absolument pas craintif, et même curieux, comme le phoque que nous avons rencontré quelques jours auparavant entre Hvammstangi et Hindisvík.
Après une bonne 1h20 de balade sur la plage de Hvalnes, nous reprenons la route vers l'autre bout de la baie de Lónsvík, à Vestrahorn, où les cartes GPS signalent également la présence de phoques. La route 1 passe près de l'église Stafafellskirkja, l'une des plus vieilles d'Islande (1866). La petite structure de bois est située non loin du cours du fleuve Jökulsá Í Lóni, à l'abris d'un parc où possent quelques arbres, dont la vue est toujours agréable sur cette île où les forêts sont si rares.

Il semble y avoir un chemin qui contourne le massif montagneux de Vestrahorn par l'est, mais nous choisissons d'en faire le tour par l'ouest, par la piste qui quitte la route 1 à hauteur du tunnel inauguré au printemps 2005 qui passe sous les montagnes, et qui court-circuite le passage par le col d'Almannaskarð.
Les pentes raides de Vestrahorn sont souvent représentées en photo ou en peinture. Cette chaîne d emontagne est particulièrement reconnaissable de par la forme en M que dessine les trois pics acérés de Brunnhorn, aussi bien vus de l'est que de l'ouest. La piste suit le littoral en longeant les pentes du mont Klifatindur, passe près de quelques fermes abandonnées, puis aboutit à la pointe de une zone de marnage découverte à basse mer. On ne peut ensuite manquer de remarquer la grande base de l'OTAN et ses radars, sous surveillance vidéo, que contourne le chemin. Nous poursuivons jusqu'au bout, à l'extrémité sud de ce petit bout de terre. De cet endroit, selon les cartes GPS, les aventuriers peuvent suivre une piste vers l'ouest, qui chemine sur une bande de terrain délimitant une lagune, le Skarðsfjörður, de la même manière que la baie de Lónsvík. Pour notre part, après quelques minutes de non observation de phoques aux pieds des sombres montagnes de Vestrahorn dont les sommets se perdent dans la brume, nous reprenons le même chemin afin de poursuivre avec les derniers kilomètres de la journée.
Alors que le soleil se couchait aux environs de 20h30 les premiers jours, il fait maintenant nuit dès 19h38. Nous sommes plus au sud, mais aussi plus à l'est, et à celà s'ajoute le fait que les jours raccourcissent à mesure que l'on se rapproche de l'hiver. Une heure de luminosité en moins fait une grande différence. C'est donc à la tombée de la nuit que nous nous arrêtons à Höfn. Il s'agit d'un port de pêche assez important avec ses 1800 habitants, si on le compare à tous les petits villages et hameaux que nous avons traversés précédement. La ville est située sur une presqu'île, qui marque la séparation entre les lagunes de Hornafjörður à l'ouest, et Skarðsfjörður à l'est. Nous n'y faisons une pause que le temps de trouver quelque chose à manger à la station N1.

Le gîte Árnanes V se situe à 6 km au nord-est de Höfn, le long de la route 1. Dès l'arrivée, on ne manque pas de remarquer le grand nombre de peintures qui décorent l'accueil et la salle principale. C'est l'hôtesse des lieux, Helga Erlendsdottir, qui les réalise. Au mur figure notamment des oeuvres représentant cette fameuse montagne en forme de M, Brunnhorn, qui a quelque chose d'envoutant et que je verrais bien dans un film comme La Rencontre du 3ème Type, une montagne mystérieuse, toujours dans le brouillard, qui excercerait une étrange attraction... Sur le site du gîte ou en effectuant une recherche sur internet (en écartant les nombreuses pages quit raitent d'hopitaux, de pénicillines et de pneumologie pédiatrique), quelques tableaux sont visibles, mais ce ne sont de loin pas les plus jolis. De manière général, beaucoup des peintures que nous avons pu voir en islande (sans toutefois chercher spécifiquement à admirer des peintures, je le précise), que ce soit à Reykjavík dans les vitrines d'une galerie d'art ou dans divers gîtes, ne m'ont pas marqué, si l'on considère le potentiel formidable que représentent les paysages islandais. Beaucoup de tableaux réalisés rapidement, mais très peu d'aquarelles détaillées et très travaillées... ce n'est que mon avis.
Concernant le gîte lui même, Árnanes V propose un hébergement dans de petits cabanons individuels faits de bois, sans cuisine, mais sinon bien équipés!

 


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Árnanes
781 Hornafjörður, SUÐURLAND / SOUTH
+3544781550